Qui suis-je?
Qui suis-je?

Je m’appelle Anne Pascale Duret, dit Calie pour faire plus court. Comment m’est venue l’idée d’ouvrir ces ateliers, me demanderiez vous ? Je suis née d’un père agriculteur et d’une mère médecin. Le bio et l’écologie ont toujours été des valeurs fortes dans notre famille. Ensuite, comme tout enfant grandissant, j ai pris mon indépendance. Les courses étaient faites dans les magasins bio alentours, la mairie m’avait octroyé un petit jardin communal, je triais quotidiennement mes déchets... Bref, la routine pour moi. J’ai eu, début du printemps 2015, une révélation, un choc. Ma soeur a publié via un réseau social, un article sur Béa Johnson.

Le DECLIC!!!

J’ai dévoré son livre et appliqué un grand nombre de ses recettes, de ses conseils ! Tous étaient judicieux, et beaucoup plus poussé que ce qui me serait venu à l’esprit..Ne plus acheter de produits emballés, aller au magasin avec ses sachets en tissu, utiliser des boites en verre chez le fromager ou le poissonnier, mettre un stop pub sur sa boite aux lettres, utiliser des mouchoirs en tissu, vider l’appart de tout le superflu ( trop d’habits, trop d’ustensiles de cuisine, trop de....) et bien évidemment ....faire ses cosmétiques et produits d’entretien soi même. J’étais tellement enthousiaste que j’en ai parlé autour de moi : mes collègues , amies et famille montraient de l’intérêt pour cette autre façon de consommer. J’ai suivi une année de formation avec le pharmacien Mr. Franck Dubus (il s’est spécialisé dès ses études en phytothérapie et aromathérapie) Et décidé de créer ma propre entreprise de transmission de savoir. Pour moi l’avenir de la planète en dépend et comme dit le petit colibri ... Au moins, moi, j’aurai fait ma part... Vous ne connaissez pas cette histoire ? La voici...

Un jour, un grand incendie se déclare dans la forêt� Tous les animaux, terrifiés, observent impuissants ce désastre. Seul le petit colibri, aussi frêle que déterminé, s’active en allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec, qu’il jette sur le feu, recommençant son manège sans relâche Au bout d’un moment, le tatou agacé par cette activité à ses yeux inutile, lui dit : - « Colibri ! Tu n’es pas un peu fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? » - « Je le sais, répond le colibri, mais moi, au moins, je fais ma part. »

C’est notre responsabilité à chacun : si nous le décidons, nous ne sommes pas impuissants.